Développer ses forces

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Confiance en soi, timidité, peur du jugement, peur du rejet

Confiance en soi, timidité, peur du jugement, peur du rejet

Développer ses forces

Confiance en soi / Timidité / Peur du regard des autres / Estime de soi : Ce n’est pas une fatalité

Vous vous mettez la pression à la hauteur de l’enjeu, malheureusement celui-ci est très souvent surévalué.

Ces thèmes sont liés : si vous gagnez de la confiance en vous, vous dépassez votre timidité, n’accordez plus d’importance au regard des autres ni d’être rejetté et vous êtes fier(e) de vous. Ils se traitent individuellement ou de concert, sachant que l’un entraine l’autre, il est donc judicieux d’aborder tous les thèmes afin d’identifier celui qui pose problème.

Le manque de confiance en soi créé un mal-être, vous bloque dans vos rapports aux autres, en amour, en amitié, en affaire, ne vous permet pas d’être ce que vous sentez vraiment être au fond de vous… Vous avez les capacités de vous réaliser, mais vous avez du mal à franchir le pas, vous vous limitez, vous n’osez pas…

La confiance en soi est une qualité rare dont le manque porte préjudice à la qualité de la vie de nombreuses personnes.

Certains en ont beaucoup trop, d’autre en manque cruellement, la confiance en soi se construit dans l’enfance, si vous ne l’avez pas développé pendant cette période, nous allons pouvoir travailler ensemble pour la faire grandir.

D’autre part, certains évènements douloureux, des périodes difficiles ont pu vous déstabiliser et vous faire perdre la confiance que vous aviez en vous, nous allons donc travailler pour la retrouver et la consolider. Acquérir ou retrouver de la confiance en soi est beaucoup plus facile qu’il n’y parait.

La confiance en soi, c’est avoir un sentiment de sécurité vis-à-vis de sa propre personne, avoir confiance en son potentiel, ses capacités et ses ressources. C’est se considérer comme apte à affronter, de manière générale, les situations qui nous entourent !

La confiance en soi est indispensable pour atteindre ses objectifs, et ainsi, réaliser ses rêves. Toute réussite commence dans la tête. Ce que nous pensons impacte profondément sur ce que nous faisons. Le fait de se sentir capable fortifie considérablement la mobilisation de nos ressources et de nos capacités. Celui qui pense réussir se donne plus facilement les moyens de réussir. La confiance en soi a donc un réel impact sur votre motivation.

Avoir confiance en soi, c’est se savoir en mesure d’affronter une situation, et donc ressentir un sentiment de sécurité vis-à-vis de cette dernière. Ce sentiment de sécurité permet d’agir mieux, et dans de meilleures conditions. Il évite, ou tout au moins atténue, le stress, la peur ou l’anxiété, qui sont de réelles barrières à l’épanouissement et à l’exploitation de ses compétences.

L’analyse de personnalité vous permettra de prendre connaissance de votre potentiel, de vos capacités, de vos ressources.

La PNL nous permettra de travailler sur vos croyances limitantes, sur la prise de conscience de votre potentiel, et définir un ou des objectifs précis

L’hypnose nous permettra d’agir sur votre inconscient et d’ancrer les résultats de notre travail en profondeur.

Résultats escomptés

  • Prendre conscience de la personne que vous êtes même si vous dites le savoir
  • Vous vous « aimez »
  • Utiliser toutes vos qualités et travailler vos « défauts » afin de mieux les exploiter
  • Exprimer vos idées, vos opinions
  • Savoir dire « NON »
  • Avoir conscience de ce que vous êtes capable de faire et l’exprimer
  • Avoir conscience de vos valeurs et l’exprimer
  • Avoir de nouveaux objectifs
  • Réaliser ces nouveaux objectifs
  • Passer à l’action sans se soucier du regard des autres
  • Être soi et être heureux de l’être
  • S’affirmer

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3 types de relations

3 types de relations

Changements, bouleversements, crises

 Nous sommes confrontés toute notre vie à 3 sortes de relations.

1-La relation à soi
Elle est la base de toute notre existence mais elle est aussi la plus complexe.
Partagés entre notre éducation quant à l’amour de soi et les blessures que nous portons depuis des années, voire même, des générations, il nous est difficile de stabiliser la relation à nous même.
Afin de trouver un équilibre, plusieurs axes de travail s’offrent à nous pour apprendre à se connaître et à mieux se comprendre :

– Amour, confiance en soi, estime de soi
– Rapport au corps
– Gestion des émotions
– Guérir du passé
– Faire de soi sa priorité

2-La relation aux autres
Relations amicales, professionnelles, sociales, familiales, de couple, engendrent quelques fois de comportements non adaptés, d’une mauvaise communication, de jalousie, souffrance, isolement ….Comprendre ce qui nous fait souffrir, nous rend agressif ou timide, ou, au contraire, ce qui nous rend heureux permet de construire des relations plus saines et plus simples :

– Communication
– Poser ses limites
– Se détacher du jugement
– Gestion des conflits
– Relations amoureuses et familiales
– Choisir son entourage

3-La relation au monde, la relation à la vie
La relation au monde peut avoir une dimension plus philosophique voire spirituelle.
Notre raison d’être, nos croyances, notre foi, l’idée que l’on se fait du bonheur, le sens que l’on donne à notre vie, toutes ces choses ne sont que quelques exemples de concepts qui nous permettent de voir plus grand et de nous élever.

Chacun décide de ce qui l’accompagne et chacun peut évoluer comme il le souhaite.
– Gratitude
– Résilience
– Lâcher prise
– Spiritualité
– Contribution
– Avoir un impact sur la société

Estime de soi

Votre épanouissement personnel, professionnel, amoureux et physique passe par la manière dont vous vous considérez. 

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Interprétations et suppositions, deux pièges à éviter ! 2/4

Interprétations et suppositions, deux pièges à éviter ! 2/4

Communication

Qu’est ce qui ou qui est ce qui, génère une interprétation ou une supposition ?
VOUS

Tout ce qui VOUS « constitue », votre éducation, votre histoire, vos expériences !
Vos valeurs et vos croyances sont la source de qui vous êtes, et par conséquent la source de vos interprétations et de vos suppositions.
Consciemment, ou inconsciemment le plus souvent, lorsque vous interprétez ou supposez, vous pensez vos valeurs et vos croyances, en danger, de ce fait, vous les défendez, en « imposant » ou « aposant » votre opinion sur une parole ou un acte.
Vous donnez un sens, le vôtre, à quelque chose, qui n’en a peut-être pas ou qui en a un autre…
C’est pourquoi, vous pouvez vous sentir « visés », « concernés », « incompris » , « bernés », ou peut-être « coupables ou responsables », ou encore « en conflit avec vous-même ».

S’identifier à « l’autre » : « Si j’étais à sa place…, je penserais…, donc je dirais…., donc je ferais… donc je, je, je…

Vous traduisez inconsciemment « mal » ce que vous entendez ou voyez, car vous vous identifiez à la personne qui les émet. Vous intégrez, ce que vous « pensez » avoir entendu ou vu, mais il n’est pas certain que ce soit ce qui a voulu être exprimé.
Votre point de vue sur ce que vous intégrez, vous est strictement personnel. Il s’agit de votre vérité, non celle de la personne qui s’est exprimée.
Etes vous cette personne ? Non ! La connaissez vous profondément ? Non !

Se sentir systématiquement concerné

Est ce que tout vous est forcément adressé ? Adressé à qui vous êtes fondamentalement ? Non !
Tout ne nous est pas forcément adressé, tout ne nous concerne pas ; nous nous attribuons souvent à tord ce que nous entendons ou voyons de la façon que nous voulons l’entendre, en rapport avec l’importance que nous nous donnons. S’accorder de l’importance, se prendre au sérieux, ou faire de tout, une affaire personnelle, est une manifestation d’égocentrisme, souvent involontaire, inconscient, puisque nous partons du principe que tout ce qui arrive, ce qui est dit nous concerne, de ce fait nous prenons tout pour nous, en y accordons une importance démesurée et pensons être responsables de tout.
Vous êtes blessés n’ont pas par ce qui vous est dit, mais parce que vous imaginez être dit, parce que « la parole ou l’acte » ravive « vos » anciennes blessures, et résonnent en vous comme une agression.
En interprétant ou supposant, vous vous « auto blessés », vous alimentez et entretenez vos souffrances, en créant « votre propre scénario, votre propre film » et vous conforte dans un « mal être » latent, génère tristesse et colère.

Lorsque vous vous sentez offensés, votre réaction consiste à vous défendre, en fait, à défendre vos propres croyances, votre argumentation est intarissable, face à l’incompréhension de votre interlocuteur, cela provoque colère, tristesse et génère des conflits. Vous vous sentez agressés, et êtes affectés parce que vous avez « besoin » d’avoir raison et finissez par imposer votre opinion, mais malheureusement ce n’est qu’une projection de votre univers et il n’a rien de commun avec celui de l’autre.
Inconsciemment c’est presque une question de survie…vos valeurs et vos croyances sont en danger !
Peut être avez-vous raison dans votre « monde » et tord dans le sien ?
Simplement en admettant que chaque individu a son propre »univers », vous serez plus objectif…

Se sentir « responsable »

Vous n’êtes aucunement responsables de ce que les autres disent ou font. Leurs actions dépendent d’eux même. Chacun vit dans sa propre histoire, l’exprime avec ses propres mots ; chacun évolue dans un monde totalement différent de celui de l’autre. Un mot pour l’un ne signifie pas la même chose que pour l’autre.

Se sentir incompris : « L’autre » me connaît …donc il sait que….

Lorsque nous interprétons ou supposons, nous partons du principe que l’autre c’est ce qu’il y a dans notre monde, et nous traduisons ses mots et le sens qu’ils leur donnent, par nos mots, ceux de notre histoire, de notre ressenti.
Ce que les gens disent, font, les opinions qu’ils émettent, dépendent uniquement de leur propre histoire. Leur point de vue résulte de toute la programmation qu’ils ont subi au cours de leur évolution.

Simplement en demandant des détails ou des exemples qui justifieront les paroles ou les actes qui vous indisposent, vous serez à même de les comprendre, ou au moins de comprendre que cela ne vous concernait pas par conséquent vous ne serez plus affecté et pourrez relativiser.

Dans un « monde » parfait

Si ces peurs ne vous habitaient pas, vous ne ressentiriez ni jalousie, ni tristesse, ni colère… il n’y aurait aucune place pour ses émotions, vous prendriez ces mots en vous disant qu’ils appartiennent à l’autre, qu’ils sont tournés contre l’autre, et vous ne vous attribuerez ayez pas un sens qui n’est pas. Lorsque vous vous sentez, en accord avec vous-même, les mots, les faits ou les comportements, qui ne vous concerne aucunement, serait attribuer à leur émetteur. Vous sauriez faire preuve de discernement, vous seriez en paix. Cela n’exclut pas, de prendre en considération, les mots de l’autre, d’analyser s’il vous concerne, ou pas. Peut-être que la personne face à vous il ne s’exprime pas de la même manière que vous, n’utilise pas les mots avec le même sens que vous leur attribuez, ne se comporte pas de la façon que vous trouveriez approprier, simplement parce que c’est une autre personne avec une autre histoire… la vérité pour l’un n’est pas la vérité de l’autre.

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Interprétations et suppositions, deux pièges à éviter ! 3/4

Interprétations et suppositions, deux pièges à éviter ! 3/4

Communication

Voici d’autres exemples où interprétations et suppositions, vont vous induire en erreur, vous déchirer, vous partager, ce qui a pour conséquence de vous empécher d’avancer comme vous le souhaiteriez.

Vous êtes en désacord avec vous même…
Une partie de votre esprit s’oppose à certaines pensées et actions, alors qu’une autre soutien les actes provoqués par des pensées contraires. Ces parties de vous entretiennent un conflit intérieur parce qu’elles sont perpétuellement en action.
Ce n’est donc qu’en faisant l’inventaire des liens créés entre les mots entendus et la traduction qu’en fait votre cerveau, (qui engendre une pensée, qui génère une émotion), que vous pourrez mettre en lumière l’explication de votre conflit intérieur, et attribuer la juste importance au mot, fait et comportement des personnes qui vous entourent.

Vous faites également des suppositions tournées contre vous-même…
Avant de vous juger, de supposer de ce que vous pouvez faire, vous pourriez faire le point sur vos capacités à réaliser ce que vous envisagez afin d’éviter de « VOUS » decevoir.
Si vous vous surestimez ou sous-estimez, réajustez votre connaissance de vous-même : Que suis-je capable de faire réellement ? Ai-je demandé des explications ? Qu’est-ce que je veux vraiment ? Qui suis-je vraiment ?

Vous niez l’existence d’aspect qui vous déplaise, chez vous, chez les autres…
Vous vous mentez à vous-même en interprétant ce que vous faites, dites, afin de vous conforter et vous donner raison. Vous supposez, jusqu’à vous persuadez que telle personne va changer grâce à votre amour, votre investissement, votre dévouement, votre aide…

Cette personne vous a-t-elle sollicité ? A-t-elle manifesté le désir de changer ? Se donne t elle les moyens de changer ? Que signifie « changer » pour elle ? Est-ce la même signification que la vôtre ? Avez-vous été investis de ce pouvoir, de cette mission ?

Vous voyez tout d’un coup ce que vous refusiez de voir avant, désormais ce que vous voyez est amplifié par une accumulation émotionnelle, de déception, de colère, de tristesse… Il vous faut maintenant justifier votre douleur en rendant les autres responsables de vos choix.
Mais au fond de vous, vous avez compris que l’autre a toujours été ce que vous n’avez jamais voulu voir.

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Interprétations et suppositions, deux pièges à éviter ! 4/4

Interprétations et suppositions, deux pièges à éviter ! 4/4

Communication

Vos propos et comportements ne sont pas adaptés à la situation…
En interprétant les mots de l’autre, vous lui prêtez des intentions selon vos propres filtres.
En communiquant sur ce que vous « croyez », vous transmettez un message par des propos qui reflètent votre propre mal-être de ce fait, vous réagissez de façon inappropriée au contexte, vos interlocuteurs ne peuvent vous comprendre votre réaction !

Vous vous sentez incompris…
Dans une relation à « l’autre », vous vous laissez aller à supposer que « l’autre » vous connaît, et que par conséquent, il sait ce que vous pensez sans que vous ayez à le formuler clairement, il sait aussi ce dont vous avez besoin et va se comporter de la façon qui va vous convenir !
Bien sur, vous avez pu le constater, ce n’est pas toujours ce qu’il se passe ! Alors, vous vous sentez blessés, déçus, incompris, pas entendus, pas considérés, voir pas respectés !
Vous partez du principe que si les autres vous aiment, ou vous « connaissent », ils doivent savoir ce que vous voulez, comment vous fonctionnez, comment vous vous sentez.
Si vous supposez cela, et par la force des choses, il s’avère que malheureusement, ils ne répondront pas à vos attentes, et vous êtes prêts à détruire une relation simplement parce que vous interprétez leurs réactions comme étant agressives à votre encontre et vous supposez que cela est fait pour vous contrarier, et finissez par vous en persuadez.
Vous supposez inconsciement, que tout le monde voit la vie comme vous la voyez, pense ce que vous pensez, ressent les choses comme vous les ressentez, et juge tout comme vous jugez !
Voilà la supposition la plus importante que fait l’être humain. C’est la raison pour laquelle il craint d’être lui-même avec les autres, car il pense qu’il va être jugé, comme il juge, qu’il va être considèré, comme il considère…comme il « se » considère ! C’est pourquoi, avant même que les autres puissent le rejeter, il se rejette déjà lui-même et s’exclue.

Vous vous sentez systématiquement bernés…
Où que vous alliez, il y aura toujours des gens qui ne vous disent pas la vérité « factuelle », qui vous blessent que soit conscient ou inconscient…
A mesure que vous prendez conscience de « l’autre » et de ses différences par rappport à vous, vous vous rendrez compte que vous « mentez » également ; ils vous mentent, parce qu’ils ne vous disent pas votre vérité, ils vous mentent, parce qu’ils se mentent aussi à eux-mêmes.
En faisant preuve de discernement, vous aurez le choix de croire ou non ce qui vous est dit, ainsi rien de ce qui vous sera dit ou fait ne pourra vous atteindre et vous affecter. Vous serez à même, de mettre à distance, ce qui ne vous concernent pas, ces mots qui concernent la peur de l’autre. La peur, sa peur qu’il n’est pas parfait, sa peur que vous découvriez qu’il n’est pas parfait, et qu’il lui est douloureux de retirer son masque.
De même lorsque des gens disent une chose et en font une autre, c’est vous « mentir » que de ne pas écouter leurs actes. Si vous êtes honnêtes envers vous-même, vous vous épargnerez beaucoup de douleur, de colère, de déception… Certes accepter la vérité sur quelque chose ou quelqu’un peut s’avérer douloureux, mais il n’est pas nécessaire de rester attaché à ses douleurs. Prendre de la distance, c’est comprendre.. Comprendre, c’est pardonner…Se pardonner aussi !
Si quelqu’un ne vous traite pas avec l’amour et le respect, que vous pensez être vôtre, prenez cela comme un cadeau, vos routes se sépareront un jour, le jour où vous en aurez pris conscience, alors vous pourrez accéder, à une autre histoire, un autre job, une autre direction… Vous aurez d’autant plus confiance en votre « jugement », et aurez ainsi la capacité de faire de bons et nouveaux choix.

Vous vous rassuez…
Lorsqu’une personne, vous adresse la parole, vous vous sentez investis d’une mission, vous supposez que votre interlocuteur attend de vous que vous trouviez une solution à la problématique (que vous supposez) alors vous vous justifiez, expliquez, afin de mettre en avant que vous avez bien compris, (ce qui ne vous a pas forcément été demandé), vous cherchez à répondre à de multiples questions (que vous imaginez qu’il va vous poser ou se poser).
Mais qu’importe que la réponse soit correcte, ou adaptée, puisque l’important est de trouver une réponse car cela vous rassure. C’est pour cela que vous faites des suppositions, destinées à combler votre besoin de savoir et à remplacer celui de communiquer. L’incompréhension vous pousse à supposer et à vous persuader de votre interprétation. Le processus est rapide et inconscient, sans doute avez vous intégré, il y a longtemps, que de poser des questions, c’est être curieux, donc impoli, mal interprété peut être, ou bien encore, dangereux, ou … que la réponse serait dangereuse !

Il y a tant de choses que notre esprit rationnel ne peut expliquer… comme le fait de simplement échanger quelques mots afin de passer un bon moment, de partager, de communiquer ou carrément se contenter d’écouter, d’être attentif et bienveillant.

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Interprétations et suppositions, comment éviter ces deux pièges ! Petites astuces !

Interprétations et suppositions, comment éviter ces deux pièges ! Petites astuces !

Communication

Les interprétations et les suppositions sont des habitudes inconscientes et des mécanismes d’auto défense.
Vous avez le « CHOIX » en effet, de rester sur des « mals entendus » gonflés à grands coups d’interprétations et de suppositions ! Voux pouvez continuer à croire que …. imaginer que … et vous faire du mal, ressentir des douleurs aussi bien morales que physiques, gaspiller votre énergie, être déstabilisés, déçus, constamment dans le doute, … OU avancer !

– Le premier pas est de prendre conscience de son mode de fonctionnement, de le comprendre en le reliant avec le « petit je ne sais quoi » de votre histoire personnelle qui fait, que vous supposez et interprétez de telle façon.
– Le second pas, est l’application dans l’action. Petit à petit, jour après jour, vous allez mettre en pratique le fait de ne pas interpréter, de ne pas voir ce que vous « voulez » voir mais de voir ce qui est »factuel ».
– Le troisième, demander systématiquement un éclaircissement, un exemple, des détails, afin que vous compreniez ce que veut exactement dire l’autre.
– Le quatrième, prendre de la distance, du recul, pour accueillir « l’autre » tout en gardant à l’esprit que l’autre est un individu à part ENTIERE donc DIFFERENT de vous, et par conséquent, ne voit pas forcément les choses de la même manière que vous.

Cet exercice va vous permettre de renforcer votre volonté d’établir des fondements solides pour que se développent de nouvelles habitudes de communications. Cette nouvelle façon de penser, d’analyser, deviendra une deuxième nature, elle deviendra un automatisme de remplacement à votre précédent mode de fonctionnement. Vos pensées, par conséquent vos émotions et votre parole se transformeront, seront plus claires, plus positives.
Vous serez ainsi mieux compris, le message que vous envoyez, sera mieux reçu, vous comprendrez mieux les autres.
Votre communication et votre compréhension seront plus justes pour vous et pour l’autre, cela signifie moins de tensions, de colères, de conflits, et s’il en subsiste, votre approche sera différente, et vous serez à même de les aborder plus « sereinement » et ne serez donc plus en proie à penser en boucle, à broyer du noir, vous ne serez donc plus submergez et n’aurez plus à gérer un »flot» d’émotions.

Réflexions engageant à voir « l’autre » autrement, amusez vous à trouver des exemples…

Votre vérité, n’est vérité que pour vous-même…
Votre réalité, n’est réalité que pour vous-même…
Chaque individu a son propre univers…
Le monde de l’un, n’est pas le monde de l’autre…
La carte n’est pas le territoire…
Le point de vue de l’un, n’est pas forcément, le point de vue de l’autre…
Un mot n’a pas le même sens pour l’un, que pour l’autre… même si la définition du Larousse est commune à tous.
Avoir raison dans son monde, n’est pas avoir raison dans d’autres mondes
Chaque individu est unique, et voit le monde des autres à travers ses propres filtres.

Donnez vous la chance…de vous envoler

Prenez soin de vous

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Communication

Communication

Communication

Nous dissocions souvent vie privée et vie professionnelle, comme si l’unique vie dont nous
disposons de l’unique personne que nous sommes, pouvait être scindée en deux. Les
difficultés ou les réussites rencontrées dans l’une influent automatiquement sur l’autre ! La qualité de votre communication est une ressource essentielle dans vos rapports aux autres.

Notre environnement au sens large du terme, impacte malgré nous, notre façon d’être.
La clef est de prendre conscience que vous êtes un « TOUT » (personnalité, place), vous disposez d’une vie (parcours) que vous pouvez (capacités/ressources/croyances) remplir à votre convenance en fonction du sens que vous souhaitez lui donner (vos valeurs).

Un parcours est en perpétuelle évolution (modification, changement, transition) même s’il est en partie composé d’obligations, de répétitions, (moyens) si vous êtes « acteur » (modifications d’habitudes, d’automatismes, de façon de voir).

Puisque vous êtes unique, votre interlocuteur l’est aussi, d’où quelques difficultés à communiquer.

La communication c’est tout un art !

Nous travaillons ici comment mieux communiquer avec les « humains » qui nous entourent ,
s’exprimer, se faire comprendre, se faire entendre, écouter, comprendre et entendre.

 Je vous enseigne des méthodes simples que vous pourrez utilisées dans votre vie personnelle comme dans votre vie professionnelle.
Une mauvaise communication est source de perte, de temps et d’énergie, mais aussi de conflits. Elle engendre dévalorisation, démotivation, fatigue, stress.

La qualité de votre communication est l’élément clef des rapports que vous entretenez avec
les autres, elle n’est donc pas à négliger !

Comment s’exprimer pour que le message que vous délivrez soit bien compris et entendu

Parler n’est pas synonyme de bonne communication.

Utiliser des propos clairs, précis, des phrases courtes ne comportant aucunes sources d’ambiguïté, d’interprétations, de suppositions. Il est aussi indiqué de se mettre à la portée de l’autre, en utilisant un vocabulaire et des tournures de phrase simples.
Les ennemis :
Les généralités, les mots « jugement »
Les termes ou expressions ambiguës
Les mots ou expressions impliquant le doute, la minimisation, l’obstacle à venir, les termes
anxiogènes ou dévalorisant : je ne sais pas, peut-être, un peu, problème, ennui, difficulté, interdit, impossible, bug… De même des termes comme : Voilà, super, bof….
Les formules négatives sont à remplacer par des affirmations positives
« ne t’inquiète pas » par « tout va bien » ;
« arrête de stresser » par « rassure toi » ;
« n’oublie pas d’où tu viens » par « vois le chemin que tu as parcouru» ;
Les acronymes ou abréviations ou sigles
Les termes techniques ou utilisés dans une profession donnée
L’anglicisme
Les phrases longues
Les tournures littéraires

Comment faire un retour sur une action ou un comportement : Le feedback

1. Avoir un objectif.
2. Commencer par le positif, faire le point pour ce qui va.
3. Citer les points négatifs de l’action menée ou du comportement ou du travail, pas de la personne.
4. Faire preuve de clarté et de précision, donner des exemples.
5. Adapter le feedback à l’interlocuteur, vocabulaire, tournure de phrases.
6. Choisir le bon moment.
7. Donner du temps pour digérer l’information.
8. Terminer en résumant ce qui est globalement positif et les points à améliorer.
Le travail sur la communication que je vous propose :
1- Evaluation du niveau de « bonne communication ».
2- Identification de la source qui engendre le comportement dérangeant
3- Séance visant à modifier les habitudes de communication acutelle
4- Modification de comportement
5- Consolidation
6- Gestion du stress et des émotions
A chaque situation, sa solution pour combattre les effets « indésirables » psychologiques et
physiques, générés par des situations stressantes.
Communication « humaine » ⇒ Vos collègues sont avant tout des « humains »
avec toute la complexité que cela engendre.
La mauvaise communication est une source de frustration, d’erreurs, d’incompréhension,
de conflits….Comment comprendre et se faire comprendre ?
Feedback ⇒ Comment faire un retour motivant ?
Gestion de conflits ⇒ Comportements, paroles … Les sources de conflits
sont nombreuses, comment apaiser les situations de « crises » et reprendre
le dialogue ?

 

Une mauvaise communication peut avoir d’autres origines :

Positionnement et Posture ⇒ Comment me positionner ? Quelle posture adopter ?
Syndrome de l’imposteur ⇒ Comment prendre, être et se sentir à sa place ?
Syndrome du sauveur ⇒ Comment être une personne investie sans pour
autant se sentir obligé de pallier à tous les manquements autour de vous ?
Equilibre ⇒ Comment garder ou instaurer une « bouffée d’oxygène » dans sa journée ?
Développer son « grit » ⇒ Retrouver « la niaque »

 

 

 

 

 

 

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Bien être au travail

Bien être au travail

Développer ses forces

Bien être au travail

Dans le cadre de la santé au travail, du bien être au travail et de la qualité de vie au travail (QVT), l’accompagnement psychologique est un plus pour l’employeur et l’employé.
Rythme effréné, surcharge de travail, stress technologique, problèmes relationnels, pression hiérarchique, pression économique … Homme ou femme, salarié ou chef d’entreprise, baby-boomer ou génération Y, le burn-out n’épargne personne. Près de 12% des salariés présentent aujourd’hui un « risque élevé » de burn-out, selon une étude publiée par le cabinet Technologia. Parmi les plus touchés : les cadres et les chefs d’entreprise.

Le travail occupe en moyenne 1/3 d’une journée hors temps de trajet, soit la moitié de notre temps éveillé. Il est donc éssentiel de se sentir à l’aise dans son poste, dans son environnement, ainsi qu’avec les personnes avec qui on partage ce temps.

Gérer son stress avec l’hypnose

Malgré toute la bonne volonté, malheureusement, la vie professionnelle influe sur la vie personnelle et vice versa !

Tous dans le même bateau ! 

 La compléxité des rapports humains, chacun ses humeurs, chacun ses soucis, et surtout chacun sa façon de les vivre et de les faire partager ! Planning surchargé, absentéîsme, manque d’effectif, irrégularité de l’activité, retard de livraison, difficulté financière, panne de machine, clients mécontents… sont le quotidien d’une vie d’entreprise, sans parler de la déferlante de négativité environnante, impactent  psychologiquement chacun de nous consciement ou insconsciement.et engendrent pression, tension, démotivation, ascenseur émotionnel, stress, anxiété…

Développer son »grit »

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Le grit

Le grit

Développer ses forces

Le grit désigne la capacité de vouloir, de ne pas se résigner, de persévérer, d’agir, d’avoir la ténacité pour vaincre les obstacles, mais aussi la force mentale, la capacité à rester concentré, précis, exigeant ; à résister à la fatigue, au découragement, à la résignation, aux bévues des siens et à la domination des autres.

 

Développer son « grit »       Prendre un rendez vous

 

« Cette attitude, qui mêle des qualités très différences, est parfois résumé e en français par une expression populaire : « la niaque » ; et en anglais par une expression à prétention plus scientifique, « the grit », concept défini par des psychologues américains, dont, surtout, la professeur Angela Duckworth.Wikipedia « Grit »

Le « grit » désigne la capacité à vouloir, à ne pas se résigner, à persévérer, à agir, à avoir la ténacité pour vaincre les obstacles. On l’associe souvent à la résilience, l’ambition, la volonté, et surtout à la capacité à s’en tenir à un projet à long terme, malgré les difficultés ; par exemple à des études longues, ou à la préparation longue à une compétition sportive, ou à une carrière, ou à la création d’une entreprise pérenne.

Des recherches montrent que ce « grit » est un élément prédictif imparable du succès dans de nombreux domaines. En ce sens, il complète, ou supplée, aux faiblesses d’autres dimensions de la personnalité, comme le QI.

Selon moi, le grit, comme le QI, se cultive, se développe, se fabrique. En ayant à chaque fois une attitude positive devant les difficultés, en étant tenace, en se nourrissant de petits plaisirs liés à un effort, puis à un effort plus long. Et surtout, surtout, en ayant un projet qui va au-delà de la survie ou de la réussite narcissique. Je suis même convaincu que le grit développe le QI qui, à son tour, développe le grit.

Et si le grit n’est pas inné, c’est qu’il peut s’acquérir grâce aux autres : L’entourage aide à son déploiement. Le grit est contagieux. Pour le dire simplement, vivre au milieu de gens qui « en veulent », qui ont un projet de vie, aide à avoir la niaque. C’est le cas, en général, d’une équipe sportive, où le grit des uns aide à renforcer celui des autres.

De même, dans une famille, la force mentale des enfants vient en partie de celles des parents ; et parfois, réciproquement. En classe, le maître doit donner l’exemple, et être positif avec chaque élève, pour dénicher toutes les dimensions positives de leurs caractères. Dans une nation enfin, il appartient au pouvoir politique de provoquer cette envie de se mobiliser pour soi et pour les autres, de construire un projet dans la durée, d’être positif. Et comme une équipe peut gagner une coupe du monde avec le grit, une nation peut, grâce à lui, trouver son bonheur.

Ainsi découvre-t-on une donnée révolutionnaire : si l’inné vient de soi ; l’acquis vient des autres. Et plus une équipe, une famille, une entreprise, une nation, est solidaire, en connivence et consciente de l’intérêt qu’elle a de faire briller les autres membres de l’équipe, plus elle a une chance d’avoir la force mentale nécessaire pour réussir à mener à bien un projet qui les dépasse tous. »

j@attali.com

 

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